HISTORIQUE
HISTORIQUE
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La Frise du Travail fut commandée par la ville de Paris pour l’Exposition Universelle de 1900.
Cette Frise du Travail ornera le pilier gauche de la Porte monumentale de l’Exposition Universelle, place de la Concorde et a été conçue par l’architecte René BINET.
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Il passe commande au sculpteur Anatole GUILLOT pour la réalisation de cette frise du Travail, elle fait 8 m de long et 2 m de haut . Elle sera réalisée en grès céramique, dans les ateliers « Emile Muller » à Ivry-sur-Seine (94).
Après l’exposition, Louis d’Emile Muller, récupère la frise et l’expose dans la cour de son usine pendant un certain temps puis elle est entreposée dans une remise.
En 1922, Camille Bériot le nouveau propriétaire de l’usine Muller, fait construire une autre usine à Breuillet (Essonne) dans un milieu riche en carrières d’argile : la matière première prête à l’emploi est transportée à Ivry-sur-Seine.
Il fait l’acquisition du moulin Hutteau et du parc attenant.
En 1953, le nouveau directeur, Roger Moessner fait aménager des logements dans le moulin et ouvre le parc au public avec un projet de théâtre de plein air.
On pense alors à la fresque en céramique pour en faire le fond de scène. Au début des années 1960, Jacques Bériot propriétaire de la société Emile Muller, fait don au directeur de ce haut-relief qui est réassemblé et installé dans le parc. Jusqu’en 1975, petits et grands profiteront de ce parc.
Mais en 1975, fermeture du parc et celui-ci reste à l’abandon. Alors que cette œuvre historique semblait à tout jamais perdue et ignorée dans un parc privé dans la commune de Breuillet, elle ressurgit vingt ans plus tard dans ce théâtre de verdure.
Mais elle a souffert : des éléments sont usés, cassés, détériorés. C’est l’œuvre du temps, des intempéries mais aussi du vandalisme.
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NOTRE PROJET
Ce haut-relief en grès céramique que l’on redécouvre, est unique.
Aujourd’hui, plus d’un siècle s’est écoulé depuis son heure de gloire où, en 1900, des millions de personnes sont passées sous la Porte Monumentale pour accéder à l’Exposition Universelle de Paris, admirant au passage un important programme sculpté dont faisait partie cette Frise.
Depuis l’acquisition du Moulin Hutteau et de son parc par la commune, des travaux de nettoyage ont été entrepris ainsi qu’une protection de la Frise. Mais aujourd’hui, cela ne suffit plus, le temps poursuit son œuvre ainsi que le vandalisme. Il faut agir en profondeur sur le monument lui-même et le protéger.
Un premier devis demandé auprès d’un restaurateur agréé par la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles), porte sur une étude de faisabilité de dépose des éléments et s’élève à 6024€ TTC .
Ce premier palier nous permet de déclencher le 2ème palier en vue de la restauration et de sa mise en valeur suivi d’un 3e palier pour sa protection.
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Il nous faudrait à minima 100 000€ pour la réalisation de tous les travaux.
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Le financement total repose actuellement sur la demande de subventions privées, de l’aide de la DRAC, de la région, du département et de la commune, prêts à nous subventionner dès le démarrage des travaux.
La Frise du Travail fut commandée par la ville de Paris pour l’Exposition Universelle de 1900.
Conçue par l’architecte René Binet, celui- ci passe commande au sculpteur Anatole Guillot pour la réalisation de cette frise du Travail, elle fait 8m de long et 2 m de haut .
Elle sera réalisée en grès céramique, dans les ateliers « Emile Muller » à Ivry-sur-Seine (94).
Cette Frise du Travail ornera le pilier gauche de la Porte monumentale de l’Exposition Universelle, place de la Concorde.
Après l’exposition, Louis d’Emile Muller récupère la frise et l’expose dans la cour de l’usine pendant un certain temps puis elle est entreposée dans une remise.
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En 1922, Camille Bériot le nouveau propriétaire de l’usine Muller, fait construire une autre usine à Breuillet (Essonne) dans un milieu riche en carrières d’argile : la matière première prête à l’emploi est transportée à Ivry-sur-Seine.
Il fait l’acquisition du moulin Hutteau et du parc attenant.
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En 1953, le nouveau directeur, Roger Moessner fait aménager des logements dans le moulin et ouvre le parc au public avec un projet de théâtre de plein air.
On pense alors à la fresque en céramique pour en faire le fond de scène.
Au début des années 1960, Jacques Bériot propriétaire de la société Emile Muller, fait don au directeur de ce haut-relief qui est ré-assemblé et installé dans le parc.
Jusqu’en 1975, petits et grands profiteront de ce parc.
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Mais en 1975, fermeture du parc, celui-ci reste à l’abandon et tombe dans l'oubli.
Alors que cette œuvre historique semblait à tout jamais perdue et ignorée dans un parc privé dans la commune de Breuillet, elle ressurgit vingt ans plus tard dans ce théâtre de verdure.
Mais elle a souffert : des éléments sont usés, cassés, détériorés. C’est l’œuvre du temps, des intempéries mais aussi du vandalisme.
Depuis l’acquisition du Moulin Hutteau et de son parc par la commune, des travaux de nettoyage ont été entrepris ainsi qu’une protection de la Frise.
Mais aujourd’hui cela ne suffit plus, le temps poursuit son œuvre ainsi que le vandalisme. Il faut agir en profondeur sur le monument lui-même et le protéger.